À Valras-Plage, les élus municipaux, sous la conduite du Maire Daniel Ballester, mènent une action de proximité forte en plaçant chaque quartier au cœur de leur mandat. Loin d’être négligés, tous les quartiers sont écoutés, valorisés et transformés grâce à des réunions régulières avec les habitants, des démarches de concertation, et une présence constante sur le terrain. Malgré les contraintes d’urbanisme, notamment liées au Plan de Prévention contre les Risques d’Inondation, la municipalité s’attache à améliorer le cadre de vie à travers des aménagements réfléchis : développement des mobilités douces, accessibilité renforcée, rénovation du mobilier urbain, végétalisation adaptée et éclairage public modernisé. L’objectif est clair : faire de chaque quartier un lieu de vie agréable, où chacun peut se sentir pleinement acteur de sa ville.
De Vendres jusqu’au quartier de l’archipel et au bd Giraud, plus au nord au chemin du Carreyrou.
À l’époque, les Mouettes, c’était un second village, une sorte de No Man’s Land avec ses terres viticoles, ses dunes et ses ajoncs, que l’on surnommait d’ailleurs « Le Village Noir » dans les années 40, car construit de planches et de toits recouverts de toile goudronnée pour l’étanchéité. » Ainsi débute le roman « Le mange-oreille » de Bernard Marquier.
Les années passant, ce secteur du quartier ouest a bien changé devenant un quartier résidentiel doté de nombreux commerces ouverts à l’année. Le secteur du casino, lui, avait accueilli dès 1918 un bâtiment majestueux qui allait abriter de longues années durant le casino. A ce moment-là cette portion de la ville était considérée comme « en dehors de la ville ». Le temps et les différentes étapes d’aménagement de la ville ont doté ce secteur de voies structurantes qui ont permis son intégration pleine et entière à la ville.
Mais ce quartier a longtemps souffert des problèmes liés à la submersion marine lors de tempêtes qui sont restées dans la mémoire des plus anciens. Des travaux très importants ont été réalisés en 2008. Dans le secteur des mouettes la construction du denier enrochement ainsi qu’un apport de 50 000 m3 de sable, prélevés en rive gauche, via une énorme canalisation de plus de 3 km a permis de réengraisser ce coin de plage, devenu inexistant et, partant, de protéger les habitations. Un cordon dunaire a été modelé, des ganivelles implantées pour piéger le sable et des passages d’accès à la plage matérialisés.
C’est à partir de ce moment que le secteur a pu bénéficier d’une réhabilitation complète faisant la part belle à l’accessibilité, la création de places et de placettes, l’évacuation des eaux pluviales, l’aménagement d’espaces verts. Au fil des ans c’est tout le quartier qui a évolué pour se mettre au goût du jour et permettre une vie harmonieuse. Des initiatives publiques mais également privées ont permis à ce secteur de la ville de se moderniser tout en restant relié au centre, hier, grâce à la réfection de l’avenue du casino, demain, grâce à la restructuration du front de mer.
Parmi les réalisations les plus importantes, notons :
Une ville commence à se peupler à l’origine grâce à un élément phare. Au XIXème siècle la grande plage centrale fut certainement déterminante de même que la route la reliant à Sérignan.
En 1879 la liaison de tramway entre Béziers et la mer contribue largement à faire de Valras un lieu de villégiature prisé, aisé à rallier. Petit à petit des maisons en dur et des commerces fleurissent. L’électrification du tramway amplifie le phénomène. Cet essor est stoppé par la guerre et ce n’est qu’en 1950 que le bd du front de mer est ouvert à la circulation. Au fil des ans, Valras acquiert sa notoriété. Un article de la Dépêche du midi de 1965 apprend que « la foule descend comme un seul homme des bus et s’écoule par la rue centrale. Au bout de 5mn à peine de marche, c’est la plage et la mer ». Un vrai bonheur, tout comme aujourd’hui !
La modernisation du village progresse à grands pas avec, au tout début des années 70 l’aménagement du port, en 1980 la création de l’Esplanade Turco, du Théâtre de la mer, et de l’office de tourisme, en 1987, la construction du Palais de la mer, puis à partir de 1999, les nécessaires ouvrages de protection du littoral et le canal de crête en 2011.
Ce cœur de ville presque d’avant-garde dans les années 80 nécessitait des travaux de modernisation et de requalification. L’équipe municipale a mené depuis 2018 toute une série de travaux en ce sens :
La requalification des allées de Gaulle et des rues adjacentes
La requalification de la place Panis
La réhabilitation complète de l’Esplanade Turco et de la première tranche du bd de front de mer
La piste cyclable du front de mer
La rénovation totale du quartier du château d’eau L’aménagement d’une cour oasis à l’école maternelle
Dans le cadre de la lutte contre les inondations et la préservation du littoral :
Ce quartier qui s’étire principalement le long de l’Orb
En effet, c’est au début du XIXème siècle que les premiers pêcheurs se sont installés dans des abris précaires sur les bords du fleuve Orb ainsi que dans les rues Jean Soutier, Pierre Loti, Vincent Scotto etc… Les habitations d’alors étaient sommaires et couvertes de “canottes”. Dans les années 1830, les paillottes se sont transformées en baraques ou en maisons pour former le quartier des pêcheurs. Au début du XXème siècle, Valras la plage est divisée en 2 parties distinctes : à l’est, le quartier des pêcheurs, véritables pionniers et fondateurs de la ville, à l’ouest quelques villas, chalets et cabanons de villégiature.
Aujourd’hui ce quartier a subi de profonds changements tout en respectant sa trame d’origine. Exposé au premier chef aux débordements de l’Orb, le quartier a fait l’objet de nombreux travaux au fil du temps pour le protéger au mieux des crues. Un muret anti-inondation a été édifié tout le long du bd Dauga et du bd de la Marine, des batardeaux nouvelle génération très récemment posés viennent compléter le dispositif. Par ailleurs, l’implantation et le renforcement au fil des années de la station de pompage du Gourp Salat vient améliorer l’évacuation des eaux en cas de fortes pluies. Enfin la digue de Querelle qui trouve son exutoire dans l’Orb et le canal de Crête viennent boucler un dispositif très complet visant à mettre à l’abri des eaux de ruissellement des coteaux, tous les quartiers de Valras-Plage.
Ces 6 dernières années, le quartier s’est refait une beauté grâce à :
C’est au Moyen-âge, que l’on trouve trace des premiers habitants sur le tumulus dominant l’Orb près du cimetière, précisément en lieu et place de la Gendarmerie à l’entrée de Valras. Le tout « premier Valras » ne se situait donc pas sur le littoral comme aujourd’hui, mais sur le coteau qui domine la plaine littorale. Il faut dire qu’à cette époque, la pêche en mer est inexistante et se pratique essentiellement sur les bords de l’Orb. Les rivages de la Méditerranée sont incertains par suite des attaques de pirates qui écument les côtes. Ce tumulus semblait donc l’endroit le plus sûr pour les quelques rares « villas » qui y ont pris place. Le reste de l’urbanisation s’est fait beaucoup plus tardivement vers le sud de la commune et nous avons là sans doute le secteur urbanisé, essentiellement pavillonnaire le plus récent.
Ce quartier a également bénéficié de travaux et d’équipements nouveaux au nombre desquels :
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