A chaque commémoration, nous appelons, nous les élus de la République, vous citoyens, à une paix durable, au respect de la démocratie, des libertés .
Nous soulignons avec horreur les actes racistes, antisémites, commis au nom d’idéaux de violence et de suprématie.
Chaque année, nous disons « plus jamais ça ». Nous parlons du devoir de mémoire et de ce que le passé doit nous apprendre de notre avenir.
Aujourd’hui, que pourrais-je vous dire ? La guerre perdure en Ukraine, le conflit israelo- palestinien reprend de plus belle avec une attaque aussi lâche qu’injuste des terroristes du Hamas. Des morts, des blessés, des otages. Une violence inouïe, des familles décimées, privées de leurs enfants enlevés ou tués.
Et en France, nous ne comptons plus les menaces, la violence contre les juifs.
La France qui a connu le vel d’hiv, l’affaire Dreyfus peut-elle accepter de tels actes ?
Mais dans quel monde vivons-nous ? Voulons-nous revivre les horreurs des années 40 ?
Aujourd’hui, je n’ai plus de mots. Je ne ressens qu’une immense tristesse, une incompréhension totale et une profonde compassion pour les ukrainiens, les israéliens, les palestiniens et tous les peuples confrontés à l’inimaginable : la guerre.
Je vous remercie de votre attention"
Daniel Ballester
Mardi 10 octobre au Palais de la mer s’est tenu une réunion d’échange entre l’équipe municipale de Valras-Plage et les commerçants de la Ville.
Plus d’une trentaine d’entre eux ont répondu à l’invitation, nourrissant des échanges nombreux et constructifs sur le quotidien et notamment la réhabilitation de la rue Charles Thomas, une artère commerçante très fréquentée.
Sur cette suggestion, le maire, candidat à sa réélection, a annoncé qu'il s'agissait là du projet prioritaire avec le front de mer de son prochain mandat.
Laurent Potart a ensuite présenté le projet de l'office du commerce et de l'artisanat (OCAV), une instance de concertation et un formidable outil destiné à aider et fédérer commerçants et artisans dans leurs actions de communication, leurs démarches administratives, etc.
Chaque commerçant recevra un compte rendu de cette réunion, ainsi qu'un descriptif précis de l'OCAV.
Le conseil municipal de ce jeudi 20 juillet portait essentiellement sur la constitution d’une commission destinée à mener une réflexion objective et argumentée sur les problématiques de santé à Valras-Plage et plus particulièrement sur la création d’une maison de santé en site propre .
Cette décision, de même que la décision de Mme Laurence Safont de démissionner de son poste de conseillère municipale font suite à l’annulation par le Tribunal administratif de Montpellier de la délibération portant déclassement du terrain destiné à la construction d’un bâtiment socle pour la Maisons de Santé Pluridisciplinaire.
Monsieur le Maire s’est exprimé :
« Par délibération en date du 13 janvier 2022, le conseil municipal a voté le déclassement dans le domaine privé de la commune de la parcelle cadastrée BI 25 afin de pouvoir la vendre et d’y réaliser, à titre exclusif, le bâtiment socle de la Maison de Santé Pluridisciplinaire .
Ce projet d’intérêt général qui a pour objectif de pérenniser l’offre de santé à Valras-Plage et réunir en un seul et même lieu les professionnels de santé de notre ville, ainsi que des permanences de spécialistes, était inscrit dans notre programme et fait partie de nos objectifs prioritaires. D’autant plus que notre commune a été récemment classée en Zone d’Intervention Prioritaire car il a été reconnu au plan régional que l’accès aux soins y était difficile
Cette délibération a été attaquée par 3 riverains de la parcelle devant le Tribunal Administratif de Montpellier, en date du 09/03/2022.
Le juge de cette instance a jugé que leur requête était fondée et a annulé la délibération pour une pure raison de forme.
En effet, le Code Général des Collectivités Territoriales prévoit qu’aucun membre du conseil municipal directement ou indirectement intéressé au projet ne doit siéger lors du vote d’une délibération ayant trait à ce même projet. Madame Safont, en tant que conseillère municipale et présidente de l’association fondatrice de la MSP et moi-même dont l’épouse était (mais n’est plus) trésorière de l’association, aurions dû sortir au moment du vote. Cela n’a pas été le cas.
Nous avons pris acte du jugement du Tribunal et avons pris immédiatement toutes les dispositions pour reprendre la procédure administrative et respecter les préconisations de neutralité et d’impartialité du juge.
C’est ainsi que :
- En tant que maire j’ai pris un arrêté dit « de déport » m’excluant de toutes les réunions, conseils municipaux, actes, relatif à la vente du terrain et plus généralement à tout ce qui touche de près ou de loin à la MSP au profit de ma 1ère adjointe, Florence Taillade.
- Le Dr Laurence Safont qui a œuvré sans relâche depuis 3 ans à la création, puis à la coordination de cette MSP m’a présenté le 11 juillet dernier sa démission afin de ne pas entacher d’irrégularité, de quelque façon que ce soit, la nouvelle procédure.
- Il sera procédé à l’élection, lors de ce conseil municipal, d’une commission composée d’élus de la majorité et proportionnellement de l’opposition n’ayant aucun lien ni professionnel, ni personnel avec la MSP. Cette commission reprendra la procédure administrative de A jusqu’à Z exceptée l’enquête publique dont l’impartialité ne saurait être remise en cause.
Cette commission se réunira régulièrement, ses conclusions seront communiquées en conseil municipal.
Ainsi la forme et le fond seront scrupuleusement respectés et l’acte administratif inattaquable.
Je tiens à rajouter que le TA n’a « condamné » personne, il a annulé un acte administratif qui sera soumis une nouvelle fois au vote du conseil municipal dans le strict respect des règles.
Je tiens également à réaffirmer que ce projet est un projet PRIVÉ, que la mairie n’entre en jeu que pour la vente du terrain.
Je n’aurai plus l’occasion de m’exprimer sur ce sujet, mais il me semblait important que des explications claires et objectives soient données aux Valrassiens. »
La prochaine séance aura lieu mardi 20 février à 19h au Palais de la mer.
Le 7 décembre dernier, le Lieutenant Cavirot et son équipe de la brigade de gendarmerie animaient à Valras une passionnante conférence sur les cybermenaces. L’occasion de mettre en lumière deux pratiques de cyber-malveillance devenues courantes : l’hameçonnage et le rançongiciel. Pour s’en prémunir, des réflexes simples existent.
Ces attaques peuvent cibler les particuliers mais aussi les entreprises et les administrations. Elles visent à obtenir des informations personnelles afin de les exploiter ou de les revendre quand il ne s’agit pas simplement de vous extorquer des fonds.
Le cybercriminel se « déguise » en un tiers de confiance (banque, administration, fournisseur d’accès…) et diffuse un message frauduleux, ou contenant une pièce jointe piégée, à une large liste de contacts. Le message invite les destinataires à mettre à jour leurs informations personnelles (et souvent bancaires) sur un site falsifié vers lequel ils sont redirigés.
Pour s’en prémunir :
Comment réagir ?
Rendez-vous sur cybermalveillance.gouv.fr pour réaliser un diagnostic qui confirmera le type d’attaque subie, ou appelez info escroquerie, une plateforme composée de gendarmes et de policiers, au 0 805 805 817. Portez plainte en ligne sur la plateforme THESEE.
Le cybercriminel diffuse un message qui contient des pièces jointes ou des liens piégés. Le corps du message contient un message correctement rédigé, parfois en français, qui demande de payer rapidement une facture par exemple. En un clic, le logiciel est téléchargé sur l’ordinateur et commence à crypter les données personnelles : documents bureautiques, photos, musique, vidéos…etc.
Les fichiers devenus inaccessibles, un message s’affiche pour réclamer le versement d’une rançon, payable en « bitcoin » ou via une carte prépayée, en échange de la clé de décryptage. Attention, rien n'indique que le décrypteur en question soit efficace !
Pour s'en prémunir:
Débranchez la machine d’Internet et isolez les supports touchés par le ransomware. Ne payez pas la rançon et portez plainte en ligne sur la plateforme THESEE. Trouvez de l’aide auprès d’un prestataire pour débloquer votre machine sur cybermalveillance.gouv.fr.
Si vous êtes un particulier victime d'une cyber-malveillance à caractère financier (chantage, sextorsion, escroquerie commerciale ou sentimentale, piratage de messagerie ou réseaux sociaux…), vous pouvez déposer plainte en ligne sur la plateforme THESEE du ministère de l'Intérieur. Accès depuis le site www.service-public.fr (rubrique Arnaque sur Internet).
Vous pouvez être accompagné gratuitement dans votre dépôt de plainte par l’association France Victimes qui opère le numéro d’aide aux victimes du ministère de la Justice : 116 006 (appel et service gratuits, ouvert 7 jours sur 7 de 9h à 19h).
Ouf, vous avez échappé à une escroquerie en ligne… N’oubliez pas de la signaler !
Rendez-vous sur la plateforme de signalement:
« Pharos » internet-signalement.gouv.fr/PharosS1/
Le numéro dédié : 0811 02 02 17
Début février, Agnès Deloustau 31 ans et Julien Delobelle 35 ans, deux audioprothésistes diplômés, s’installeront au 14 boulevard de la République à Valras-Plage sous l’enseigne « Clarté Audition ». Ces deux passionnés accueilleront bientôt les personnes qui connaissent des problèmes d’audition pour leur permettre de retrouver une vie normale grâce à des prothèses auditives discrètes et performantes.
80% des pertes d’audition sont liées à l’âge et 20% des déficiences auditives sont associées à des problèmes mécaniques. Pour les sourds profonds, les interventions s’effectuent au niveau du nerf auditif, avec la pose d’implants cochléaires dans un centre d’implantologie.
« Nous sommes totalement indépendants et choisissons les fabricants et les produits qui nous plaisent. Sensible au handicap car malentendant de naissance et appareillé depuis l’âge de 5 ans, Julien a été formateur audioprothésiste dans le grand Sud de la France. En ce qui me concerne, je possède un master en neuroprothèses sensorielles et motrices, ce qui me permet d’appareiller les enfants qui sont testés auditivement dès la naissance à la maternité, puis ensuite suivis par un pédiatre. Il faut savoir que le cortex auditif est celui qui mature en dernier, souvent jusqu’à l’âge de 6 ans, d’où l’importance d’un dépistage précoce » confie Agnès.
Depuis 6 mois, la Sécurité sociale a redéfini le cadre de l’appareillage. Pour un primo-appareillé, une consultation chez l’ORL est obligatoire ; s’il s’agit d’un renouvellement, une visite chez le médecin généraliste suffit. L’audioprothésiste intervient avant le spécialiste en dépistage, prodigue des conseils, et s’il constate une perte d’audition, il encourage les patients à consulter l’ORL qui prescrira une ordonnance d’appareillage.
Les causes de la surdité sont multiples. Outre l’âge, il existe des facteurs aggravants tel le bruit pour les ouvriers du bâtiment par exemple, mais aussi la prise de médicaments, des facteurs génétiques, et bien sûr des otites à répétition. L’audioprothésiste peut tester plusieurs types de corrections possibles avant d’aider le patient dans son choix. Il l’informe, le conseille en tenant compte du coût, du sens esthétique, du mode de vie et de l’activité professionnelle de ce dernier.
« Au début, nous y allons progressivement. Il existe 3 formes d’appareillage : l’intra-auriculaire placé dans le conduit auditif pour une surdité légère, le mini-contour d’oreille et le contour d’oreille pour des surdités plus importantes, précise Agnès. Depuis 2021, deux catégories d’appareils ont été définies : la classe 1, des appareils à pile intégralement remboursés, et la classe 2, des appareils rechargeables plus performants avec un reste à charge pour le patient. Les fabricants des appareillages sont principalement danois, américains, suisses, allemands et canadiens » Nos deux audioprothésistes réalisent aussi des bouchons d’oreilles anti-bruit sur mesure, la protection auditive la plus efficace contre les agressions sonores. « Nous confectionnons une empreinte de l’oreille avec une pâte spéciale, puis après modélisation, l’envoyons à notre fabricant à Nîmes qui nous retourne les embouts moulés en silicone médical. Ces bouchons sont par exemple très utiles pour protéger de l’eau les enfants souffrant d’otites » conclue-t-elle.
Le jeudi 9 mars prochain sera la journée nationale de l’audition. Agnès et Julien sont partenaires de cette association qui met en lumière les problèmes auditifs. Une belle occasion pour aller à la rencontre de ces deux audioprothésistes expérimentés, la garantie d’une prise en charge professionnelle pour aider toutes les personnes dans leur parcours de santé auditif !
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